« Les éco-anxieux sont des gens normaux dans un monde malade »
Des catastrophes comme celle qui frappe, entre autres, l’Amazonie soulèvent aujourd’hui une vague de partages, de hashtags et d’indignation. Hier on s’en souciait peu, demain on y pensera certainement moins.
Les mots c’est beau, mais ils n’arrêteront pas ces catastrophes. Des catastrophes dont nous sommes à notre échelle également responsables: nous choisissons notre façon de consommer et par conséquent notre impact sur l’environnement.
Et les paroles d’un jour ne vaudront jamais nos gestes quotidiens. Ce sont eux qui font la différence.
Je fais plus que certains, moins que d’autres. Mais petit à petit, je fais de plus en plus. Des gestes simples qui ne me semblent pas être une contrainte. Ils sont des choix, devenus des habitudes.
On n’a pas besoin d’être parfaits, on a besoin d’être nombreux. Et ça peut commencer par des choses toutes simples, des choses qu’on peut tous faire.
La liste semble longue, c’est parce qu’il y a tant de choses qui sont à notre portée. Et si on ne sait pas par où commencer ou comment en faire davantage, il y a tellement de sites, blogs, pages Facebook, comptes Instagram… qui partagent leurs astuces, leurs recettes, qui inspirent, qui motivent, dans lesquels piocher des idées…
Enfin, je crois que c’est important de se rappeler que penser à la Terre, à l’environnement, c’est penser à soi. Et que tous ces gestes qu’on fait, on les fait certes pour la nature, mais avant tout pour soi.
Car une chose est sûre, c’est que sans cette nature, on ira pas bien loin.
– Anais Tennière
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